Premier article annuel : alors que s’est-il passé en janvier ? Le mois a été à deux vitesses, un peu comme la météo !
Sorties et balades
Mon rituel du 1er janvier, c’est d’aller en forêt pour bien commencer l’année. En 2023, comme en 2022, j’ai pris la direction du parc de Bird Hills, mais cette fois avec les raquettes au pied. On a eu du gel qui a persisté pendant plusieurs jours, cela rendait les paysages magiques.
À lire : Bird Hills, 1 parc, 4 saisons
C’était aussi le retour des chiens de soleil, ce phénomène qui arrive lorsque les cristaux de glace dans l’air font se refléter la lumière du soleil pour créer un cercle parfait.
On a aussi été faire la randonnée de Bear Lake dans le Whiteshell, qui avait été fermée pendant au moins deux ans. Et puis… C’est tout. Il est tombé malade, je suis tombée malade ensuite. Cela m’a permis de rester à la maison et d’éviter la vague de froid qui a fait frémir la côte est du Canada. Des -40, on en a chaque hiver à Winnipeg lol.
Le sentier de la rivière a ouvert, mais je n’ai pris aucune photo des petites warming huts (pourquoi ? je ne sais pas). Autrement, du brunch et un repas ukrainien ont été au menu.
Sur le blog
15 apps à avoir à Winnipeg
Bilan 2022
Culture
Du théâtre, comme chaque mois ou presque car j’ai un abonnement annuel au Royal Manitoba Theater Centre, du puzzle et des jeux de société. Cela fait des mois que je ne suis pas allée au cinéma, je ne sais même plus ce qui sort !
Sinon, j’ai commencé Ginny and Georgia, que je continue un peu par défaut et nous avons enfin terminé les cinq saisons du Bureau des Légendes. La fin était ratée, c’est dommage ! J’ai aussi dévoré Derry Girls : la bande-son mérite le détour, ainsi que cette magie des moments bénins de la vie d’ados qui croisent l’Histoire. Les actrices sont toutes très bonnes (bien que trentenaires jouant des ados).
J’ai lu pas mal de choses qui ne méritent pas de rester dans les mémoires mais j’ai beaucoup aimé The School for Good Mothers de Jessamine Chan, une dystopie où le moindre écart (crier sur son enfant, le laisser pleurer, qu’il se casse quelque chose…) est passible d’une punition judiciaire : les parents doivent aller dans un internat dédié à la parentalité pendant un an. C’était fascinant.
What does not kill you de Tessa Miller revient sur ce que ça fait de vivre avec la maladie de Crohn, du diagnostic au quotidien, c’était bien, sauf les passages trop véhéments sur l’injustice du monde. Il y avait des tas de conseils et réflexions intéressantes autour des malades chroniques.
Et en février ?
J’ai tourné un vidéo Youtube ce matin et j’ai une jolie collab avec Tourism Winnipeg qui se profile. Mon objectif, c’est de reprendre la main sur mon compte Instagram, complètement laissé à l’abandon. La question d’afficher ma tête ou non en Stories me fait réfléchir. À suivre !
Autrement, mon dossier de citoyenneté a bougé et il ne manque plus que la convocation pour la cérémonie. Croisez les doigts pour moi s’il vous plaît 🙂