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Apprendre le hongrois : mon expérience

  • 11 mai 2022

J’ai vécu un an à Budapest et j’ai choisi d’apprendre le hongrois, même si le hongrois est une des langues les plus difficiles du monde. Je vais partager ici mes impressions, astuces et conseils, puisque je suis prof de langues !

Pourquoi apprendre le hongrois ?

Ne pas parler la langue de mon pays d’expatriation était ma plus grande crainte en arrivant en Hongrie. Professionnellement, ne pas parler hongrois ne me gênait pas : je suis prof de français, je voulais justement ne pas pouvoir parler la langue de mes élèves pour qu’on utilise le français seulement en classe. Dans les faits, on parle anglais comme langue de communication, tant pis. Par contre dans la vie de tous les jours, j’avais peur que ne pas parler hongrois soit un obstacle. Et en effet, ça l’est. Donc j’ai commencé à apprendre le hongrois.

Peut-on vivre à Budapest sans parler hongrois ?

Pendant mes premiers jours à Budapest, il a fallu me faire accompagner partout d’un peu officiel, à la banque, au bureau d’immigration, à la poste. Attendre qu’une collègue parle pour nous, écoute la réponse, nous la traduise avec des pertes d’informations au milieu, on dit ce qu’on a à dire et le ballet croisé recommence. Vous vous en doutez, c’est un peu pénible, on se sent vite infantilisé.e de ne pas pouvoir effectuer ses démarches administratives d’arrivée dans un nouveau pays soi-même.

Je pensais avant d’arriver :

Mais Budapest, c’est une capitale, les gens parlent anglais !

Oui et non. Certains Hongrois parlent anglais, des guichets spéciaux sont mis en place dans les banques ou services comme à la gare de Keleti par exemple. D’autres le comprennent mais refusent de prononcer un mot. Quand on sort du centre-ville touristique, le reste de la population, les caissiers de mon supermarché, les employés au guichet du métro ou de la poste, le personnel non-enseignant de l’école, les gens qui demandent des directions dans la rue, la boulangère, mes voisins, personne ne parle anglais. Certains ont des notions de russe peut-être, après le communisme, mais c’est tout – et moi, je ne parle pas russe. La plupart des Hongrois ne parlent que le hongrois.

apprendre le hongrois

Le hongrois est une langue difficile

Le hongrois est une des langues les plus difficiles du monde. C’est une langue finno-ougrienne, qui appartient au même groupe linguistique que le finnois, l’estonien et étrangement le basque, et qui franchement sort un peu de nulle part, les linguistes ne comprennent pas comment ces groupes isolés de population ont pu développer (et maintenir !) leur langue au milieu de toutes les influences autour.

Déjà, pour commencer, l’alphabet hongrois a 44 lettres. 44. Tous les sons sont représentés, donc au moins quand on apprend à lire on peut pratiquement prononcer correctement n’importe quel mot hongrois. J’ai mis deux mois à différencier c, s, sc, cs, zs. Les voyelles, on les prononce courtes ou longues en fonction de l’accent qui les orne et certains sons n’existent qu’en hongrois, notamment le gy qui est partout, surtout dans le nom du pays (Magyarország). Démonstration :

apprendre-le-hongrois
Apprendre le hongrois commence par l’alphabet et ses 44 lettres !

Le hongrois est une langue agglutinante, c’est à-dire qu’on accole des suffixes et qu’en plus on doit les décliner, comme en latin, à l’accusatif, au datif… mais la déclinaison change selon les voyelles contenues à l’intérieur du mot. Par exemple, à l’accusatif, le mot peut prendre cinq terminaisons différentes, sans compter les exceptions. Tomate va devenir paradiscomot mais café kávét et beurre vajat. Il y a au moins 18 groupes de verbes différents et en classe, on ne nous a appris à conjuguer que les trois premières personnes, je n’ose même pas imaginer les autres !

Une autre difficulté dans l’apprentissage du hongrois et la communication, c’est que les gens ne sont pas habitués à entendre du mauvais hongrois, même dans les endroits touristiques. Une fois ou deux, j’ai cherché mon mot toute fière sur mon traducteur, je l’ai dit à voix haute mais si je n’avais pas assez allongé la voyelle ou si je m’étais emmêlée les pinceaux, ils ne comprenaient pas du tout. Alors penaude je sors mon téléphone et je montre le mot, ou une image de ce que je veux tout en disant le mot en anglais, mon interlocuteur souvent aussi gêné que moi.

Budapest Parlement Danube
Un an comme professeur de FLE en Hongrie
À lire aussi : le bilan plutôt négatif de mon année de prof de français à Budapest.

Apprendre le hongrois

J’ai mis à peu près un mois à me décider et j’ai finalement choisi de prendre des cours pour apprendre le hongrois, à l’université, avec des étudiants Erasmus. J’y suis vraiment allée à reculons… étant prof depuis maintenant six ans, les formations que je peux suivre ponctuellement me rappellent à quel point je déteste repasser de l’autre côté et être assise sur une chaise à écouter quelqu’un d’autre parler. En tant que prof de langue, j’avais aussi peur d’être nulle, de ne pas y arriver, d’avoir un blocage.

Mais en fait non… je suis la première de la classe (#ego). C’est sûrement grâce à ma formation linguistique, à toutes les langues que j’ai apprises (puis oubliées : anglais, espagnol, italien, latin, arabe, néerlandais, allemand) et au fait que les étudiants Erasmus vivent en vase clos et en anglais alors que j’entends du hongrois toute la journée autour de moi. On ne va pas vite et on ne fait pas de grammaire, puisque c’est la tendance dans l’enseignement des langues, mais ça me fait plaisir au moral.

Et surtout, prendre des cours de hongrois m’aide au quotidien. Je suis maintenant capable d’acheter du pain, des viennoiseries, un billet de bus pour un jour et une heure précise, une boisson, un truc sans ordonnance à la pharmacie, et avoir des conversations très basiques avec une grammaire limitée si mes interlocuteurs miment ou parlent lentement comme quand j’ai passé un week-end en immersion dans une famille hongroise. Par contre, j’en arrive au point où je peux commander quelque chose ou poser une question sans difficultés, mais mon interlocuteur va à son tour me demander quelque chose, répondre ou compléter et là je ne suis plus, je panique, et tous les efforts tombent à l’eau. Et j’ai aussi bien sûr des moments ridicules : j’ai souhaité bon après-midi pendant un mois à toute heure du jour et de la nuit avant d’apprendre les salutations appropriées….

Pour apprendre le hongrois, j’ai choisi d’aller à l’université ELTE. Elle a une bonne réputation, elle n’était pas loin de chez moi et ouverte aux non-étudiants de l’université. J’ai payé 50 euros pour un semestre de cours à raison d’une heure et demie par semaine. Un semestre coûte maintenant 75 euros, vous trouverez toutes les informations sur le site de l’université. J’ai seulement suivi le premier niveau, car le prix augmentait sensiblement pour suivre le second niveau, les cours étaient deux fois par semaine et malheureusement l’organisme qui m’employait comme professeur de français ne finançait pas nos cours.

Une autre façon plus simple d’apprendre le hongrois gratuitement, c’est de pratiquer l’échange linguistique : vous rencontrez quelqu’un dans un café pour parler hongrois et anglais ou français. Moi, je ne veux pas, mais c’est un point de vue personnel : je suis prof donc je n’ai pas envie d’aider quelqu’un à apprendre le français gratuitement sur mon temps libre car j’aurais trop l’impression d’être au travail. Après, je reconnais que c’est assez pratique pour dynamiser sa vie sociale et permet normalement de rencontrer de nouvelles personnes, locales qui plus est, intéressées par les langues étrangères.

Où apprendre le hongrois à Budapest ?

– à l’université ELTE ;
– dans des écoles comme Ulysses ou la Magyar Iskola ;
– en ligne comme ici ou sur votre téléphone, avec Duolingo par exemple

J’adore impressionner les élèves. Ils pensent que je ne comprends pas quand ils parlent hongrois, mais tout à l’heure, j’ai été plus vite qu’eux à leur traduire un mot. Je ne dévoile qu’à certaines classes que je comprends un peu, ça les rend tout fiers, ils me bombardent de questions sur ce que je sais dire, me font prononcer des trucs (probablement des gros mots d’ailleurs), trouvent ça trop mignon. C’était important pour moi de faire ce pas vers eux et maintenant que j’ai un premier aperçu de leur système linguistique, je peux mieux appréhender (et corriger) les difficultés qu’ils auront en français.

école Hongrie
L’école en Hongrie
Tout sur le système scolaire hongrois !

Magyarul tanulok. J’apprends le hongrois. Dans les commentaires, venez me raconter si ça vous dirait de vous expatrier dans un pays à la langue impossible ou si vous l’avez fait, comment vous avez vécu ça au quotidien !

Exam de hongrois. Je suis presque déçue 😀 pic.twitter.com/OO74XhizKJ

— Kenza (@cupsenglishtea) December 7, 2015

Après, je reconnais qu’il est totalement possible de vivre à Budapest sans parler hongrois, surtout pour un séjour de courte durée, mais je trouve que c’est toujours intéressant d’apprendre un peu la langue du pays, aussi compliquée qu’elle soit comme le hongrois. Une langue permet d’en découvrir beaucoup sur la culture et les habitants.

Après un an à Budapest, j’avais un niveau A1 environ mais malheureusement apprendre le hongrois, même un peu, ne m’a pas vraiment aidé à mieux appréhender la vie et la ville au quotidien. Par contre, si vous venez à Budapest en vacances, vous devriez passer un bon moment !

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38 commentaires
  1. Elie dit :
    17 février 2017 à 190728

    Bonjour
    je suis un peu en retard au vue de l’age de l’article et de ces plus récents commentaires.
    Mais je viens ici en espérant trouver quelques réponses a mes questions , j’ai 22 ans ,je n’ai pas de diplôme, et je voudrais m’expatrier au Guatemala ou en Ecuador cela me traverse l’esprit depuis ma plus tendre enfance. n’ayant jamais appris l’espagnole j’ai peur de ne pas m’intégrer et de ne pas trouver de travail la bas. quelques petits conseil serait les bienvenue.
    merci

    Répondre
    1. Kenza dit :
      18 février 2017 à 130119

      Bonjour Elie ! Je crois que le plus important pour ces pays, avant la langue, c’est de s’assurer d’être en règle avec un visa adéquat. Malheureusement, ni le Guatemala ni l’Equateur n’ont d’accord de PVT, ça risque d’être difficile. Autrement, les Français peuvent partir sans conditions ou presque au Mexique, en Argentine, en Urugay et au Chili il me semble. L’apprentissage de l’espagnol viendra suite, surtout si tu es en immersion. Sinon pourquoi ne pas partir d’abord en Espagne, puisque c’est l’Europe et qu’on peut y travailler facilement ? tu pourrais faire fille au pair par exemple, ça te permettrait d’être logée et nourrie et te laisserait beaucoup de temps pour apprendre l’espagnol.

      Répondre
  2. anne-sophie dit :
    11 février 2016 à 130114

    Super cet article ! Je me retrouve vraiment dans ta situation 🙂 Je vis en Lituanie et la langue est aussi très compliquée. C’est un système de déclinaison et tout change ! Même le nom des villes et les prénoms…
    Mais honte à moi, j’y suis restée 1 an en temps que volontaire et je ne suis repartie qu’avec les bases. Ils parlent tous plus ou moins anglais, alors je n’ai pas trop essayé de parler (c’est pas bien, mais je ne referais plus la même erreur^^) Maintenant que je suis revenue, objectif apprentissage du lituanien en 2 mois. Surtout qu’on vient de me proposer d’enseigner le français dans un collège… Affaire à suivre !
    En tout cas, merci pour l’article 🙂

    Répondre
  3. brindille33 dit :
    16 décembre 2015 à 170501

    Je vois que les vidéos ne se sont pas affichées. Pour les retrouver, je te conseille d’ôter à partir du &w=400 de la fin du lien 🙂

    Répondre
  4. brindille33 dit :
    16 décembre 2015 à 160459

    Bonjour,
    C’est en passant sur la photo du mois, que je lis que tu habites dans un endroit où j’ai dans le passé tellement rêvé de m’établir, à cause des danses folkloriques, des chants et de tous les contacts que nous avions tissés là-bas, grâce à un Belge habitant Bruxelles et d’origine Hongroise. Il est actuellement à Gödöllö, du moins dans les environs. L’endroit où se trouve le château de Sissi ou Elisabeth d’Autriche 🙂
    J’ai appris le Hongrois de manière phonétique, avec un peu d’aide au début pour pouvoir le chanter. Il semblerait que j’aie eu la même voix que les paysannes de là-bas. Pendant deux ans, j’ai appris avec mon lecteur de cassettes à l’époque, celui de mon installation hi-fi. Tuner, deck-cassettes, et tourne-disque. A force un jour il a rendu l’âme, tant je l’ai utilisé. J’ai dansé, j’ai chanté en groupe sur scène en Belgique où j’habitais à l’époque. Ce furent des années extraordinaires de rencontres aussi. Quant à la langue, je ne savais dire que bonjour, à ta santé, la feuille, mon amour, 🙂
    L’épouse du moniteur qui était parisienne a eu toutes les peines du monde à s’habituer dans ce pays, en tant que violoniste. Le couple n’a pas marché et elle est rentrée à Paris avec les deux filles. Trop de difficultés d’intégrations etc…
    En ce qui me concerne, je connaissais pas mal de chants traditionnels par coeur, et à ce jour, je connais encore toute la phonétique des mots l’un à après l’autre. Le par coeur est parti, j’ai gardé les textes. Et il est vrai que c’est très compliqué. Il existe une école à Bruxelles pour apprendre le Hongrois et j’ai failli m’y rendre pour m’expatrier là-bas. J’avais dans la quarantaine, cela fait plus de vingt ans. Que de bons souvenirs lorsque je te lis. Hélas, la culture d’origine des musiques Hongroises ne veulent plus être transmises par les jeunes. Ces derniers préférant de loin, les musiques modernes et actuelles, surtout celles venant des E.U. ou autres. Je ne sais si tu as vu le film le Patient Anglais ? Dans ce film, Martha Sebestyen une grande figure de la musique, chantait une version très arrangée d’une chanson folklorique hongroise : Szerelem. J’espère ne pas m’être trompée de mémoire entre le “s” et le “z”, mais à y réfléchir, je ne pense pas. 🙂
    https://www.youtube.com/watch?v=QBoOa3PzPg8&w=400
    Elle a beaucoup chanté avec le groupe Muzsikas dont j’ai encore pas mal de manifestations appelés “bals” en hongrois. J’en ai oublié le nom.
    https://www.youtube.com/watch?v=RNU2rTn161w&w=400
    Cette danse et chanson, je viens de la rechanter en lisant les paroles et j’ai bien ri. Bah, il suffirait de s’y remettre. J’en connais encore par cœur que j’ai d’ailleurs enregistré sur mon Ipad 🙂 Histoire encore de m’illusionner.
    Il m’avait été conseillé à l’époque d’aller enseigner le Français, alors que je ne suis pas du tout professeur. Le fait d’avoir autant d’affinités avec le Hongrois, et je ne serais pas la seule, c’est parce que j’y retrouve pas mal de repères Néerlandais et Allemand. Deux langues que je sais très bien parler pour la première, c’est celle de mon père et la seconde étant fort identique, sauf les déclinaisons que j’ai apprises. Je puis encore pas mal me débrouiller, c’est l’essentiel. 🙂
    En tout cas, bravo pour ce courage de te lancer dans une telle aventure 🙂
    Je pense que cela doit être passionnant.
    Un bout de mon coeur est parti là-bas avec les chorégraphes, les musiciens et tout ce que j’ai vécu au niveau musical et culturel de cette Hongrie profonde. J’avais déjà plongé dans bien d’autres musiques et danses étrangères, avant de terminer par le chant Hongrois. Un vrai coup de coeur.
    Amitiés.

    Répondre
  5. Anna dit :
    10 décembre 2015 à 221011

    Jó napot, kenza! (Most, Jó estet! )
    Én is, francia vagyok, magyarul tanulok, egy kicsi, és magyaországon élek, Budapest mellett.
    A magyarul nyelv nehéz de, gyönyörü …
    Excuse mon hongrois approximatif, mais moi aussi je débute…C’est comme ça que j’ai trouvé ton blog et toutes tes aventures, grâce à l’apprentissage du hongrois.
    Trés chouette, une trés jolie découverte!
    J’ai de la chance d’avoir un “traducteur” personnel, alors c’est plus facile pour la vie quotidienne, mais parfois c’est pas désagréable de ne pas comprendre la langue, (métro, bus…) juste écouter sa mélodie.
    Merci pour tes jolis mots, de Budapest et d’ailleurs, tu es très courageuse.
    Sok batorság!
    Szia

    Répondre
  6. tiphanya dit :
    2 décembre 2015 à 150354

    Je trouve que l’échange linguistique est une bonne chose quand on n’est plus totalement débutant. Je l’ai fait en Sicile dans le but de faire de l’oral et travailler des points de vocabulaire précis. Bon j’ai fait ça avec une prof d’anglais, mais c’était sympa. On allait au marché et on nommait tout ce qu’on voyait en italien et en français, avançant tout doucement.
    Bon courage, j’adore les deux accents sur le o et le u !

    Répondre
  7. Choux Roses dit :
    1 décembre 2015 à 231119

    “j’ai demandé à une élève si elle avait des seins au lieu d’un chat à une voyelle près” de quoi me faire hurler de rire ! 😀
    je suis une expat en France, ce n’est pas ma langue maternelle. Et le français est très dur aussi !

    Répondre
    1. Choux Roses dit :
      1 décembre 2015 à 231123

      arf je ne sais pas pourquoi, mais quand on clique sur mon pseudo, mon ancien blog qui a été supprimé s’affiche encore 🙁

      Répondre
      1. Kenza dit :
        2 décembre 2015 à 111150

        C’est sûrement à cause de ton compte WordPress.com qui y est toujours associé, ou bien ton compte Gravatar 🙂 mais non, c’est pas si dur le français, parole de prof ! c’est la perfection qui est difficile à atteindre 🙂

        Répondre
  8. Muriel dit :
    1 décembre 2015 à 70749

    Bonjour !

    J’ai eu une expérience un petit peu similaire, mais à moindre échelle. J’ai fait un stage de deux mois en Inde, et je me suis aperçue que les seuls Indiens qui parlaient anglais étaient ceux des classes privilégiés… Les cadres, etc. Mais les vendeurs, les chauffeurs, les voisins, parlaient tous Gujarati (la langue du Gujarat, où je me trouvais), et certains ne parlaient même pas l’hindi, la langue la plus parlée du pays.
    Merci en tout cas pour cette lecture, votre blog m’a été recommandé par ma sœur qui est prof de français elle aussi (mais non expatriée), et je prends plaisir à lire vos intéressantes expériences 🙂
    Bonne continuation !

    Répondre
  9. Aurélie dit :
    1 décembre 2015 à 101001

    J’avais appris des mots chinois à Pékin parce que c’était beaucoup plus simple et agréable que de chercher quelqu’un qui parle anglais… et en plus les locaux sont hyper contents ! mais c’est vrai que je ne pouvais pas vraiment converser.
    J’aurais du prendre des cours pour ça et je n’ai fais que échanges linguistiques. Je comprends que ça te plaise moyen vu que c’est ton boulot, pareil pour moi j’ai horreur qu’on me demande des conseils juridiques au détour d’une conversation ou en we…

    bisous et bravo !

    Répondre
  10. Les Bazos dit :
    30 novembre 2015 à 231157

    Je ne sais pas si j’aurai envie de partir dans un pays dont je ne connais pas la langue. Me connaissant, j’aurai essayé de savoir dire quelques trucs avant de partir. Après, je dis ça mais quand on est partis à Bali, je ne me suis pas posé de question ^^ (bon, c’était pour 10 jours ^^).
    En tout cas, je te trouve très courageuse <3

    A.

    Répondre
  11. the travelling petit pain dit :
    30 novembre 2015 à 190744

    J’aimerais beaucoup m’expatrier au Japon, mais bien entendu je ne parle pas japonais. Cet article me donne néanmoins plein d’espoir sur mon adaptation 🙂 si tu peux arriver à apprendre le hongrois et ses 18 groupes verbaux, je peux bien apprendre 2000 Kanjis:p

    Répondre
  12. Tameï dit :
    30 novembre 2015 à 140216

    J’en parlais avec d’autres Erasmus il y a quelques semaines. Je pensais que le polonais, tchèque et hongrois se ressemblaient et on m’a expliqué que pas du tout, le hongrois était à part. C’est fou qu’à Budapest, capitale quand même, si peu de gens parlent anglais. Même à Wroclaw, 4ème ville de Pologne par son nombre d’habitants, il n’est pas trop dur de trouver des gens avec des bases d’anglais (notamment, beaucoup de jeunes ont un bon niveau).

    Répondre
  13. Elanorlabelle dit :
    30 novembre 2015 à 130108

    Tu sais ce que j’en pense, j’ai beaucoup galéré en Hongrie sans le hongrois. Mais lorsque je vois la complexité de la langue, je me dis que pour les quelques mois passés là-bas ça ne m’aurait que moyennement avancée. Chapeau en tout cas pour toutes ces langues apprises, même si certaines sont aujourd’hui cachée dans le fin fond de ton esprit.

    Répondre
  14. travelwithalexita dit :
    29 novembre 2015 à 121207

    Coucou, je me reconnais bien dans ton post. Je suis actuellement en Lettonie, et j’ai hésité longuement à prendre des cours de letton. Mais bon, le letton c’est assez difficile et surtout quand on pense que si peu de personnes le parlent. Donc bon, je vis au jour le jour sans pouvoir communiquer, c’est pas évident, juste ” bonjour, merci, au revoir”, mais je suis dit que le russe serait plus “utile” peut être. Ceci dit ton article m’a fait plaisir, je me sens moins seule 🙂

    Répondre
  15. Melle Bulle dit :
    28 novembre 2015 à 180654

    C’est justement pour moi un des freins à mon envie d’expatriation … Je suis déjà frustrée de ne pas être bilingue … Alors aller dans un pays dont je ne connais et ne maîtrise pas un minimum la langue … Je ne pourrais pas ! Et j’admire tous ceux qui le font 😉
    Pour avoir passé plusieurs semaines en Hongrie, c’est vrai que cette langue est vraiment bizarre ! Moi, petite, elle me faisait marrer 😉

    Répondre
  16. lolli15 dit :
    28 novembre 2015 à 150341

    Je troue que tu es très courageuse, je ne sais pas si j’oserai m’expatrier dans un pays avec une langue qui m’est vraiment étrangère, surtout comme le hongrois par ex lol

    Répondre
  17. Ferdy Pain d'épice dit :
    27 novembre 2015 à 170536

    Alors bravo !!! Tu fais bien de prendre des cours quel enrichissement ! J’avais pareil que toi, 2 mois en Chine, je prenais 6h de cours de chinois par semaine et très rapidement j’étais capable de faire mes courses prendre le taxi etc… et on se sent fière 🙂 courage et surtout prends ton pied !

    Répondre
  18. Lair_co dit :
    27 novembre 2015 à 190704

    Toujours aussi admirative, partir dans un pays étranger est devenu ton quotidien, mais le faire dans une langue même pas effleurée, c’est vraiment courageux !
    Et courage courage pour les prochaines découvertes de déclinaison 😉

    Répondre
  19. Elé dit :
    27 novembre 2015 à 160448

    Après avoir vu Lilo et Stitch, j’ai voulu apprendre la langue hawaiienne. Voilà.
    Le Polonais est très compliqué aussi, apparemment. J’ai un peu appris à prononcer, ce qui est pas une mince affaire au départ. A l’hôpital en attendant qu’on me pose mon plâtre à ma dernière visite en Pologne, j’ai lu deux pages d’article en Polonais écrites tout petit ! Je reconnais les difficultés avec les cz, zs, etc… et j’aurai probablement tout oublié d’ici ma prochaine visite. Rien que le mot “déclinaisons” me décourage à apprendre une langue. De mauvais souvenirs du latin !

    Répondre
  20. sarahlenwha dit :
    27 novembre 2015 à 90914

    Merci pour ce billet dans lequel je me suis reconnue et vais me reconnaître encore l’année prochaine !
    Déjà, chapeau bas pour le hongrois, c’est l’une des langues qui m’effraie du point de vue grammaticale (avec les langues du Caucase qui ont l’air bien balèzes aussi).
    J’ai passé 3 semaines au Japon en septembre avec mon copain (japonais qui apprend le français avec moi en France) et c’était tellement frustrant de ne presque rien comprendre. Je comprenais seulement de quoi on parlait mais pas plus. Il faisait la traduction et je le pressais toujours d’un “quoi ? qu’est-ce qu’il dit ? vous parlez de quoi ?”. J’étais de l’autre côté puisque c’est son quotidien à lui en France.
    Je ne me fais pas de soucis pour toi pour l’apprentissage du hongrois. Plus on apprend des langues, plus vite on en apprend :).
    Je crois que je n’ai jamais aussi bien compris la grammaire en étudiant le russe. Maintenant, c’est au tour du japonais !

    Répondre
  21. jaiecrit dit :
    27 novembre 2015 à 140250

    L’apprentissage du cambodgien même juste la base a été une de mes plus grandes fiertés car c’est un alphabet complètement different du notre et aussi une manière de pensée différente (beaucoup plus imagée). La prononciation était mon gros point faible mais du moment que je me se faisais comprendre (et plus arnaquer), l’essentiel était là. Je me rappelle le nombre de fois où je faisais rire mes collègues à dire un truc complètement opposé à ce que je voulais dire à cause de la prononciation. Cela m’a été utile pour le marché, les transports et ce cours était beaucoup trop drôle pour ne pas y aller. Tu es dans une bonne démarche et je crois que c’est essentiel quand on veut s’intégrer parmi une population, dans une culture notamment quand on reste longtemps. Par contre, l’avantage c’est que quasiment partout, les cambodgiens parlaient anglais, les cafés, les restaurants, les musées, l’administration et sinon j’avais des collègues, quelle épopée de récupérer mon linge perdu surtout d’en parler à la petite dame qui ne parlait pas un mot d’anglais, mais ça a donné des situations qui aujourd’hui me font rire encore, moins sur le moment haha. Bon courage <3

    Répondre
  22. Ophélie G. dit :
    27 novembre 2015 à 121224

    Très honnêtement, je ne pense pas être capable de m’expatrier dans un pays où la langue me serait totalement inconnue. Je suis de nature assez angoissée, et si je n’ai pas au moins l’avantage de la langue, j’ai peur d’être complètement paniquée. Tu es franchement super courageuse d’avoir fait ce pas, surtout après être passée par tant de pays anglophones ! xx

    Répondre
  23. Sweet Judas dit :
    27 novembre 2015 à 101021

    Mon Dieu, le hongrois, rien qu’au nom, ça sent la langue impossible à piger pour mon cerveau. Je m’en sors bien avec l’anglais (binge-watchage de séries télé en VO sous-titrée, merci les copains), j’ai jamais réussi avec l’espagnol (comment ai-je pu tenir une demi-heure au bac reste un mystère)(bouuh, c’est loin) et le latin m’avait donné des envies de suicide (même si on le parle pas, faut apprendre les déclinaisons et tutti quantti)(l’angoisse). Bref, les langues et moi, on est pas copines du tout. Je t’admire en silence de partir dans un pays dont tu ne maîtrises pas la langue & où on ne parle pas vraiment beaucoup anglais. Je pense sincèrement que ça me ferait choisir une autre destination, illico presto. Je me sens pas encore capable de mimer que je cherche des toilettes, un taxi ou un bon hamburger-frites… 🙂

    P.S. : Premier commentaire que je me décide à laisser ici (faut croire que le hongrois m’inspire). J’aime beaucoup tout ce que tu racontes ici, et la manière dont tu le racontes. C’est simple & c’est chouette. Quand je t’ai découvert, c’était un peu comme si j’étais tombée sur une p’tite pépite !

    (Enfin bref. A bientôt ~)

    Répondre
  24. Cécile dit :
    27 novembre 2015 à 20245

    J’ai passé deux jours à Budapest l’été dernier et j’ai trouvé qu’on s’y débrouille sans problème quand on y est en tant que touriste et qu’on parle anglais. Pour le reste, ça me fait penser à mon séjour en Islande où j’ai bataillé avec les déclinaisons, les trois genres et surtout la prononciation ! Mon niveau A1 est maintenant bien loin…
    Heureusement que tout le monde (ou presque) là-bas parlait anglais.
    Bon courage pour l’apprentissage du hongrois !

    Répondre
  25. carrie4myself dit :
    27 novembre 2015 à 90929

    Bon courage pour l’apprentissage. Je suis nulle pour les accents et bataille deja avec certains mots belges et anglais niveau prononciation donc chapeau Miss!!!

    Répondre
  26. Lucile dit :
    27 novembre 2015 à 20214

    Haha je vois qu’on partage la passion des langues. J’ai aussi appris l’anglais, allemand, italien, russe, polonais, espagnol, cantonais, mandarin et hebreu. Fiou!! Mais je ne garde que l’anglais italien espagnol dans mon CV…
    Sinon, tu as bien du courage de l’apprendre (un mal necessaire??) ca me rappelle un peu le polonais ou je frisais le suicide grammatical.
    Pour ce qui est d’etre dans un pays dont on ne connais pas la langue, hmm il y a bien eu Hong-Kong et Singapour dont les langues officielles sont chinois ET anglais. J’avais appris a parler (ni ecrire ni lire) le cantonais et ca se passait bien, mais ensuite pour le mandarin avec les ideogrammes… c’est une langue tres imagee et poetique mais c’est juste trop dur ! J’ai donc abandonne apres 6 mois…
    Sok szerencsét (??) et tiens nous au courant !!

    Répondre
  27. Carine dit :
    26 novembre 2015 à 221042

    Ici aux Pays-Bas c’est plus simple, tout le monde parle anglais !
    Bon, ça motive pas forcément à apprendre la langue locale du coup.

    Répondre
    1. leyla dit :
      16 mars 2016 à 200847

      eh ben justement moi je viens de m’y installer a rotterderm, cela fait 3 mois ,je galere toujours a m’madapter ici, et c’ést cher de se permettre des cours je sais pas si tu peux m”aider en me filant des conseils pour la langue , des endroits …..jen prends tt merci d avance.

      Répondre
  28. sophie dit :
    26 novembre 2015 à 221012

    Idem quand on est parti en Chine !
    Au début, ça nous paraissait vraiment insurmontable… Et puis au bout de quelques mois, c’est comme si qqch c’était débloqué dans notre cerveau… bizarre. Et quel fierté de comprendre ne serait que quelques bribes de conversation.
    Félicitations à toi ! c’est très courageux en tout cas de prendre des cours 🙂

    Répondre
  29. Voyages de prof dit :
    27 novembre 2015 à 20236

    Ca me rappelle mon été en Pologne! j’avais appris à dire les bases, mais après plusieurs semaines on m’avait fait la remarque que la prononciation, ou la déclinaison, était fausse, grrrrrr….
    Sinon concernant les échanges linguistiques : l’an dernier j’ai du passer 6 mois en France, j’étais prof, et j’en ai profité pour me remettre à l’espagnol : j’ai proposé à une de mes étudiantes hispanophones de faire un échange linguistique… qui s’est rapidement transformé en beuverie bilingue!!! On se voyait une fois par semaine et toujours avec un verre, ou 2, ou 3, c’était juste trop drole, et que de la conversation, pas un vrai cours, c’est pour ca que c’était si cool!!! je ne me sentais pas du tout comme étant en train de travailler!!! Tu devrais essayer, même s’il s’avère que finalement ca ne te plait vraiment pas! On ne sait jamais!!

    Répondre
  30. tarab2014 dit :
    26 novembre 2015 à 231153

    Comme Sophie je me suis mise au chinois, et si le hongrois et ses 44 lettres font peur, imagine un peu le chinois et ses 150 000 caractères (oui, 150 000 ! Heureusement il n’en faut “que” 2500 pour pouvoir lire le journal…). D’enthousiasmes en moments de découragement j’avance petit à petit dans cette langue, c’est un élément important pour faire un pas vers l’autre mais comme toi j’en suis au moment où ce que je sais dire laisse l’autre croire qu’on peut tenir une conversation, mais j’en suis encore bien loin. Un pas après l’autre…

    Répondre
  31. Sabine dit :
    26 novembre 2015 à 231128

    Je suis contente que tu t’y sois mise et que tu progresses ! L’échange linguistique ça permet aussi de faire des rencontres. Les filles que j’ai rencontré comme ça voulaient surtout rencontrer une Française et me parler de la France et de Paris avant leur voyage en Europe. Ce sont devenues des copines avec qui je ne parle que anglais. Mais je comprends que ton côté prof ne puisse pas s’empêcher de prendre le dessus 🙂

    Répondre
  32. Frenchie in Canada dit :
    26 novembre 2015 à 221049

    J’ai passe 2 mois au Bresil il y a quelques annees, et du coup j’avais appris quelques mots. Mais c’est vrai que le hongrois, c’est quand meme plus complique!
    Et moi qui pensais avoir un bon niveau en anglais, ca m’a fait un sacre choc quand je suis partie en Ecosse, je ne comprenais rien avec leur accent lol

    Répondre
  33. pomdepin dit :
    26 novembre 2015 à 210942

    Ça ne doit pas être facile du tout…c’est vrai que je suis comme toi, je pense qu’avec l’anglais on s’en sort partout. C’est une erreur! Franchement, je n’aurais jamais osé faire comme rit et parie dans un pays où je ne comprends pas un mot.

    Répondre
  34. Lu dit :
    26 novembre 2015 à 210922

    J’ai toujours dit qu’un jour j’apprendrai l’hébreu. J’aime les sonorités et je trouve l’écriture magnifique.
    De plus en plus grâce au travail, je m’intéresse au turc. La communauté turque est importante dans la ville où je travaille et ça me simplifierait la vie si je pouvais le parler plutôt que de montrer des mots traduits par GoogleTrad pour faire avancer un entretien. Il faudrait que je me lance mais apprendre une langue, c’est chronophage et en ce moment, mon temps hors du travail est précieux.

    Répondre

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Ancienne prof de français langue étrangère, je me suis beaucoup expatriée et ai profité de mon travail pour voyager.

Je vis maintenant à Winnipeg, au Canada. J’aime boire du thé et raconter mes aventures sur ce blog !

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